IBM Cloud

Cloud : Mise en contexte

L’informatique en nuage suscite un intérêt croissant pour les entreprises du monde entier. Au cours des dernières années, son émergence a notablement fait évoluer l’industrie informatique en proposant l’idée de “tout peut être un service”.

L’administrateur informatique doit désormais s’adapter à un environnement cloud, qu’il soit sur place ou dans des centres de données distants. Avant le cloud, la sécurité était intrinsèque avec des systèmes connectés en réseau local privé. Dans le cloud, les responsabilités incluent l’acquisition des composantes du système, la gestion des implications réseaux et des enjeux de sécurité, l’utilisation de diverses technologies, l’intégration d’outils spécifiques et le soutien des clients.

Les raisons courantes pour les entreprises de migrer vers le cloud incluent des avantages tels que la flexibilité, l’évolutivité, la sécurité améliorée, la récupération après sinistre, la collaboration accrue, la mobilité, le contrôle de la qualité, la durabilité et la réduction des coûts. En effet, il semble que l’avantage le plus spectaculaire que l’informatique en nuage apporte aux PME est d’offrir des rendements sur investissement qui n’avaient jamais été possibles auparavant (McKinsey, 2022).

Types de Cloud

Trois types (et demi) de cloud ont été définis : public, privé, privé-communautaire (ou dédié) et hybride. Le cloud public offre des ressources partagées accessibles de n’importe où. Le cloud privé propose des ressources accessibles localement ou par un fournisseur. Le cloud communautaire ou dédié est similaire au cloud privé, mais les ressources sont partagées entre les membres d’un groupe fermé qui ont les mêmes besoins. Une image pour le démontrer serait un cloud à l’intérieur d’un cloud. Le cloud hybride combine des aspects des autres types de clouds et est accessible à partir de divers emplacements (Ghaffari, Soltani Delgosha et Abdolvand, 2014).

Les modèles de service

Les modèles de service cloud incluent : Infrastructure as a Service (IaaS), Platform as a Service (PaaS), et Software as a Service (SaaS). IaaS implique la gestion de l’infrastructure sous-jacente par le fournisseur, PaaS inclut également la gestion du système d’exploitation, et SaaS gère les systèmes via l’application.

La taille du marché nuagique et les principaux joueurs

C’est le segment du SaaS qui détenait la plus grande part de marché en 2018, avec 58% et qui continue de croître. (Gupta, 2020). En effet, la pandémie n’a fait qu’accélérer l’augmentation. Alors que le marché du cloud computing a explosé ces dernières années, les revenus sont passés de 187 milliards en 2022 à une estimation de plus de 500 milliards d’ici 2030, selon un rapport d’Allied Market Research (2023). Ce chiffre varie selon les sources. On parle plutôt de 623 milliards d’ici 2027 dans le rapport de ReportLinker (2023).

Pas de grandes surprises en entendant qu’Amazon, SAP, Google, Oracle, Microsoft, Salesforce et IBM, sont les fournisseurs en tête de liste qui sont en mesure d’offrir un grand éventail de services, soulignant la complexité, les barrières à l’entrée et la diversité du marché. En effet, les cinq principaux fournisseurs de SaaS, à savoir Microsoft, Salesforce, Adobe, SAP et Oracle dominent avec une part de marché mondial combinée de 51%. IBM est également un acteur majeur, représentant 6% du marché du SaaS.

En ce qui concerne le marché du cloud public IaaS (Infrastructure as a Service), les cinq principaux fournisseurs dominent ici aussi avec près de 80% des parts de marché mondial. IBM détient quant à elle 1,8% des parts, générant des revenus annuels de 577 millions de dollars (Stamford, 2019).

En résumé, le marché du cloud computing, en particulier dans les domaines du SaaS, du IaaS et du PaaS, est en constante évolution avec des opportunités de croissance, une concurrence féroce entre les principaux fournisseurs et des avantages significatifs pour les entreprises migrantes. IBM occupe une position notable parmi les acteurs de ce paysage dynamique. L’entreprise s’est d’ailleurs méritée le Cloud Award en 2022-2023 pour la meilleure infrastructure nuagique.

Historique d’IBM

IBM (International Business Machines Corporation) est une entreprise technologique internationale dont le siège est à Armonk, dans l’état de New York aux États-Unis. Fondée en 1911, IBM, aussi surnommée Big Blue, a subi d’importantes transformations au fil des ans, passant d’un fabricant de matériel à un fournisseur de logiciels, de services et de solutions divers. Plusieurs inventeurs sont à la source de la création de l’entreprise, mais c’est en 1914, que Thomas J. Watson Sr. lui fera prendre son envol. Dix ans plus tard, elle sera rebaptisée et deviendra officiellement IBM¹.

Les principales opérations de l’entreprise sont réparties dans plusieurs segments clés dont le cloud qui nous intéresse plus particulièrement pour ce projet d’analyse.

Cloud & Cognitive Software : Ce segment se concentre sur la fourniture d’une gamme de services basés sur le nuage et de plateformes de données. Les offres cloud d’IBM rivalisent avec celles proposées par Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure et Google Cloud Platform (Rigg, 2021).

Pionnier des technologies cloud : IBM détient fièrement le titre d’une des premières entreprises à développer des technologies cloud. En 2007, IBM a lancé le programme Blue Cloud, visant à offrir des solutions logicielles et matérielles aux entreprises souhaitant migrer vers le cloud en utilisant une infrastructure partagée.

Historique d’IBM Cloud

Depuis, IBM Cloud, anciennement connu sous le nom de Bluemix, offre plus de 170 services dans le cloud, couvrant des domaines tels que le calcul, le stockage, le réseau, les bases de données, l’analytique, l’apprentissage automatique et les outils de développement.

Chronologie des événements depuis la création²

• En 2005, SoftLayer Technologies, Inc. a été fondée par Lance Crosby, en tant que fournisseur de serveurs dédiés, d’hébergement géré et de services de cloud computing.
• En 2010, GI Partners a acquis une participation majoritaire dans SoftLayer, fusionnant plus tard avec The Planet Internet Services.
• En 2011, la société hébergait plus de 81 000 serveurs pour plus de 26 000 clients dans des emplacements à travers les États-Unis. Cette même année, elle annoncait ses plans d’expansion à l’international.
• En 2013, IBM a acquis SoftLayer, le renommant Bluemix, qui deviendra IBM Cloud en 2018.
• En 2015, Bluemix comprenait une suite de plus de 100 outils de développement basés sur le cloud, comprenant des domaines tels que les réseaux sociaux, la mobilité, la sécurité, l’analyse, les bases de données et l’Internet des objets (IoT). Bluemix avait alors atteint 83 000 utilisateurs en Inde, avec une croissance d’environ 10 000 utilisateurs chaque mois.
• En 2017, IBM a annoncé la prise en charge de Kubernetes dans le service IBM Bluemix Container, rebaptisé plus tard IBM Cloud Kubernetes Service (IKS).
• En 2018, IBM a lancé un service géré de Kubernetes sur bare-metal, et en août 2019, a lancé Red Hat OpenShift sur IBM Cloud après l’acquisition de Red Hat.
• En 2019, IBM a conçu le premier cloud public prêt pour les services financiers, avec Bank of America et BNP Paribas comme partenaires.
• En 2019, IBM a collaboré avec l’United States Tennis Association (USTA) pour fournir des outils alimentés par l’IA pour l’US Open.
• En mai 2020, IBM a conclu des accords avec six entreprises européennes, dont Osram et Crédit Mutuel, utilisant IBM Cloud pour accéder à des technologies avancées telles que l’IA, la blockchain et l’analyse.
• En 2020, IBM Cloud a été reconnu comme un leader en matière de serveurs bare-metal, offrant plus de 11 millions de configurations personnalisées avec les derniers processeurs Power, Intel, AMD et GPU Nvidia.
• En 2021, IBM a annoncé son engagement à atteindre zéro émission de gaz à effet de serre d’ici 2030.

Les clientèles cibles

La chronologie ci-dessus permet de voir l’éventail des clients auxquels les services d’IBM Cloud peuvent s’adresser. Avec des forfaits et des services personnalisables, les multinationales, PME, OBNL, institutions financières, entreprises de services, télécommunication, commerces, établissements d’enseignements et de soins de santé, organisations gouvernementales, travailleurs autonomes et particuliers peuvent y trouver leur compte (McKinsey, 2022). Nous verrons plus loin comment les différents types de comptes apportent la flexibilité nécessaire pour s’adapter aux multiples besoins.

Les différents logos

L’adresse web

Le dernier logo est celui qu’on retrouve actuellement sur le site web. La page d’accueil permet de se créer un compte, mais il est possible d’avoir accès à une foule d’informations en consultant librement le catalogue. C’est d’ailleurs à partir de ce dernier, ainsi que d’un compte d’Essai, que les informations et captures d’écrans qui suivent ont été tirées.

Les essentiels d’IBM Cloud

Voici un résumé des points importants à connaître sur IBM Cloud :

Services Cloud : IBM Cloud offre une diversité de services, comprenant le calcul, le stockage, les bases de données, l’analyse, l’intelligence artificielle (IA), l’apprentissage automatique (ML), la blockchain, l’Internet des objets (IoT), et bien d’autres. Ces services sont conçus pour répondre à divers besoins en matière de cloud computing.

Modèles de Déploiement : IBM Cloud prend en charge plusieurs modèles de déploiement, tels que le cloud public, privé et hybride. Cela donne aux entreprises la flexibilité de choisir la solution qui correspond le mieux à leurs exigences en matière de sécurité et de conformité.

IBM Watson : Intégré à IBM Cloud, Watson est la plateforme d’IA d’IBM. Elle propose des services d’IA et de ML, permettant aux développeurs de créer des applications intelligentes capables de comprendre, raisonner, apprendre, et interagir de manière plus naturelle avec les utilisateurs.

Blockchain : IBM Cloud propose des services blockchain pour aider les entreprises à créer, déployer et gérer des réseaux blockchain sécurisés. Ces services sont applicables à divers secteurs tels que la finance, la santé et la chaîne d’approvisionnement.

Sécurité et Conformité : La sécurité et la conformité sont des priorités sur IBM Cloud. Des outils de sécurité avancés, des solutions de gestion des identités et des accès, ainsi que des fonctionnalités de conformité sont disponibles pour aider les clients à respecter les réglementations spécifiques à leur secteur.

Partenariats et Écosystème : IBM Cloud collabore avec de nombreux partenaires technologiques, formant ainsi un écosystème diversifié. Cela permet aux clients d’intégrer facilement des services tiers et d’élargir leurs solutions en utilisant des technologies complémentaires.

Développement Durable : IBM s’engage à la durabilité et à la réduction de l’impact environnemental de ses centres de données. L’entreprise travaille activement à accroître l’efficacité énergétique de ses opérations cloud.

Les différents comptes

Les comptes d’Essai

Les comptes d’Essai IBM Cloud offrent une opportunité aux utilisateurs de tester les fonctionnalités et d’explorer la plateforme sans s’engager financièrement. Bien entendu, avec un accès limité à certains plans de service. Ces comptes sont spécialement destinés aux professeurs et étudiants des établissements universitaires accrédités et ont une durée de validité de 30 jours. Ils permettent d’accéder à des plans de service Lite et gratuits.

Il est important de noter que si un utilisateur choisit de mettre à niveau son compte d’Essai vers un compte Paiement à la carte en ajoutant une carte de crédit, cette conversion est irréversible.

Les comptes Paiement à la carte

Les comptes Paiement à la carte offrent un accès complet au catalogue IBM Cloud, y compris tous les plans Free et Lite. L’utilisateur paie uniquement pour les services facturables utilisés, sans contrat à long terme. Lors de l’inscription sur IBM Cloud, un compte Paiement à la carte est créé, et l’utilisateur reçoit un crédit de 200 dollars pour commencer. Ce crédit peut être utilisé pour explorer et utiliser divers produits IBM Cloud.

La facturation sur les comptes Paiement à la carte est basée sur l’utilisation réelle des ressources. Les services d’infrastructure sont facturés sur une base périodique horaire ou mensuelle, tandis que les services de plateforme fluctuent en fonction de l’utilisation, offrant ainsi une tarification semblable à celle des services publics.

Il est également possible de créer plusieurs groupes de ressources pour faciliter la gestion du quota et la visualisation des coûts d’utilisation d’un ensemble spécifique de ressources. Les frais sont liés à l’utilisation des ressources de calcul et des services IBM Cloud, et des notifications de dépenses peuvent être configurées pour avertir l’utilisateur en cas de dépassement des seuils définis.

Les comptes Paiement à la carte incluent le support de base sans frais supplémentaires. Cependant, des plans de support avancé ou Premium peuvent être commandés pour obtenir une assistance en matière de charges de travail de production.

Les comptes Abonnement

Enfin, les comptes Abonnement offrent des avantages similaires aux comptes Paiement à la carte, mais avec des remises sur les services de plateforme et le support.

En résumé, IBM Cloud propose une gamme variée de modèles de comptes pour répondre aux besoins spécifiques des utilisateurs, allant des comptes d’Essai pour l’exploration initiale à des comptes Paiement à la carte et Abonnement pour une utilisation plus intensive, offrant des fonctionnalités, des tarifs et des engagements adaptés à chaque besoin.

La tarification

Dans le contexte des fournisseurs d’informatique en nuage, des outils et des calculateurs de prix, tels que ceux fournis par IBM, Amazon, Microsoft et Google, sont essentiels pour évaluer et planifier les coûts de migration et le coût total de possession, en tenant compte de facteurs tels que la puissance du processeur, la RAM, le stockage, le système d’exploitation et les modèles tarifaires spécifiques aux fournisseurs.

La tarification sur IBM Cloud est un processus complexe qui varie en fonction de plusieurs paramètres, tels que le type de ressource utilisée, le modèle de tarification choisi et la fréquence de mise à jour des frais. La base est d’environ 200 dollars par mois, par utilisateur et augmente selon la consommation. Voici une analyse plus détaillée des principaux éléments :

1. Frais de ressources de calcul :
   • Les applications sont facturées en fonction de la durée d’exécution et de la mémoire utilisée, avec un coût spécifique par Go/heure.
2. Frais des services :
   • Certains services ont des franchises mensuelles gratuites, avec des coûts supplémentaires pour une utilisation dépassant ces limites.
3. Tarification différenciée :
   • Elle peut être de trois types : tranches simples, tranches graduées ou tranches fixes, en fonction du volume d’utilisation réelle.
4. Plans Lite :
   • Ces plans offrent un quota gratuit pour certains services, évitant ainsi des frais involontaires.

En résumé, la tarification sur IBM Cloud est basée sur la consommation réelle des ressources, offrant une transparence accrue sur les coûts potentiels selon les besoins des utilisateurs. Pour ma part, j’ai opté pour le compte d’Essai avec l’option “gratuit”.

Langues

Le système est en mesure de détecter 86 langues, mais seulement 25 d’entre elles bénéficient d’un support linguistique. Toutefois, l’anglais est la seule langue qui couvrent l’ensemble des caractéristiques. Pour connaître celles qui sont supportées par une langue autre que l’anglais, consultez la page du catalogue à cet effet.

Les types de navigation

La console IBM Cloud est l’interface centralisée pour gérer les ressources de la plateforme. Une fois connecté, la barre de menus vous propose des options de navigation, notamment l’accès au catalogue, à la documentation, au support, à la gestion du compte, à l’estimateur des coûts, aux notifications et au profil. En plus de la console, des interfaces de ligne de commande, des API, des SDK et le support Terraform sont disponibles pour interagir avec les ressources et gérer le compte Cloud à l’échelle de l’entreprise, le cas échéant.

Il existe aussi plusieurs tutoriels pour les différents sujets. À titre d’exemple, voici un tutoriel pour aider les utilisateurs à naviguer dans la console.

La gestion des utilisateurs et des accès

La gestion des utilisateurs dans la console IBM Cloud permet d’ajouter et de supprimer des utilisateurs. Les fonctionnalités clés comprennent un contrôle d’accès granulaire, l’utilisation de groupes d’accès pour simplifier leur affectation à plusieurs utilisateurs, des profils sécurisés pour gérer les autorisations.

La console IBM Cloud offre des modèles IAM gérés par l’entreprise pour une gestion centralisée de l’accès, la création de clés d’API pour l’authentification des utilisateurs, des ID de service pour identifier les applications et la prise en charge de l’authentification multi-facteur. Les entreprises peuvent étendre leur stratégie de sécurité avec des contrôles d’accès IAM basés sur des restrictions contextuelles. Quoique je puisse voir ces fonctions dans la console, mes accès “essai” à titre de particulier (plutôt qu’entreprise) sont limités pour voir comment elles se développent.

En résumé, le système IAM d’IBM Cloud propose une structure flexible basée sur des profils sécurisés, des groupes d’accès, des règles et des rôles pour gérer efficacement l’accès aux ressources Cloud.

La création d’un tableau de bord

Comment personnaliser le tableau de bord dans la console IBM Cloud pour que les informations affichées soient pertinentes? À titre d’exemple, disons que je suis gestionnaire d’un projet d’agent conversationnel. Je dois créer mon tableau de bord que je partagerai ensuite avec ma directrice de programme pour faciliter la discussion sur l’affectation des ressources et le budget futur. Voici un résumé des étapes que je dois suivre pour créer mon tableau :

Étape 1: Créer un tableau de bord

1. Accéder à la console IBM Cloud et cliquer sur l’icône “Actions” pour créer un tableau de bord.
2. Choisir un modèle de gestion et saisir le titre du tableau de bord.
3. Utiliser le panneau Paramètres du tableau de bord pour ajouter des widgets pertinents, comme le widget Notes.
4. Définir la portée en sélectionnant les ressources pertinentes, filtrées par groupe, étiquette ou emplacement.
5. Réorganiser la disposition des widgets selon mes besoins.
6. Enregistrer le tableau de bord.

Étape 2: Partager un tableau de bord avec des coéquipiers

1. Cliquer sur l’icône “Actions” et sélectionner “Partager”.
2. Partager le tableau de bord avec d’autres utilisateurs en générant un lien.
3. Les utilisateurs avec le lien peuvent voir le tableau de bord dans leur compte, mais l’accès aux données dépend de leurs droits d’accès aux ressources spécifiées.
4. S’assurer que les utilisateurs, avec lesquels le partage est fait, ont les droits d’accès nécessaires.

Politique en matière de protection de la vie privée

L’informatique en nuage évite aux utilisateurs d’avoir à maintenir leur propre infrastructure technologique, car ils transfèrent le fardeau de la gestion du système et de la protection des données au fournisseur de services informatiques en nuage.

En revanche, il existe d’importants obstacles associés à son adoption. De toute évidence, la sécurité est l’une des préoccupations les plus cruciales dans l’adoption du cloud, de sorte que le manque de sécurité peut entraver le processus de conversion. Pour pallier cette crainte, les fournisseurs proposent des services qui peuvent maximiser le niveau de sécurité de manière convaincante.

Les points clés en matière de sécurité pour IBM Cloud sont liés à la collecte et à l’utilisation des données personnelles, aux sous-traitants, à l’autorité réglementaire, aux divulgations, aux informations pour les utilisateurs finaux, à la résolution des litiges et aux données de compte dans le contexte des Services Cloud certifiés par le bouclier de protection de la vie privée fournis par IBM. Pour en savoir davantage, consultez la liste des produits IBM concernés par cette politique.

Conclusion de l’expérience utilisateur

Il est facile de créer un compte et de comprendre les différents types de comptes auxquels il est possible de souscrire et leurs conditions. L’interface de la console est conviviale et les menus sont intuitifs. Le catalogue, bien vulgarisé, permet la compréhension des applications. Pour une personne comme moi qui a peu d’expérience dans l’utilisation de ce genre de produit, les tutoriels sont forts utiles pour naviguer à travers les modules de la console et apprivoiser les possibilités qu’elle offre.

Du point de vue d’une entreprise, voici ce que confie Performance IN Lighting : l’évolutivité de la solution gérée dans IBM Cloud nous permet de centraliser et de standardiser nos flux de travaux à l’échelon de tout le groupe sur une plateforme d’ERP SAP unifiée. De plus, nous n’avons plus besoin de nous occuper de l’administration du système et nous pouvons passer plus de temps à acquérir des connaissances clés pour faire progresser l’entreprise. ..notre équipe TI est libre de se concentrer sur notre transformation numérique : nous voulons poser les bases d’une entreprise plus compétitive et plus agile (kyndryl, 2021).

À votre tour de l’essayer!

1. IBM. Wikipedia ↩︎
2. IBM Cloud. Wikipedia ↩︎